Les relations Europe-Japon
L’existence d’une formation supérieure de management spécialisée dans les relations commerciales Europe-Japon-Chine pose, bien évidemment, la question de l’intérêt de former des cadres et managers spécifiquement à une zone géographique. La justification de ce projet prend sa source dans les développements économiques récents et les difficultés rencontrées par les entreprises pour conduire leurs politiques commerciales au Japon et en Chine.
En effet, en moins de dix ans, les relations commerciales entre la France et le Japon se sont transformées en partenariat majeur.
En 1992, il y avait deux cents filiales d’entreprises françaises implantées au Japon. Elles sont, aujourd’hui, plus de quatre cent cinquante. Les échanges commerciaux entre les deux pays sont d’autant plus importants qu’en raison de la composition structurelle de l’économie japonaise, de nouveaux secteurs s’ouvrent aux firmes européennes.
Ainsi, la France n’est plus seulement un partenaire de services ou de biens localisés, mais est reconnue comme une puissance manufacturière. La percée des investissements français au Japon a également élargi la présence de nos entreprises à de nouveaux secteurs : industries de services (distribution, finance, publicité, média, tourisme), technologies de l’information, industries lourdes,... Elle est même devenue - à l’image de l’Alliance Renault-Nissan - un partenaire financier dont les investissements sont recherchés.
Cette configuration particulière et nouvelle des politiques d’exportations et de partenariats des entreprises françaises et européennes au Japon et en Chine nécessite en conséquence des managers ayant une excellente connaissance de l’ensemble des marchés européen et asiatiques ainsi que des structures de distribution.
De plus, la multiplication de ces partenariats impose la gestion d’équipes interculturelles et un management croisé. Ainsi, la formation de cadres au monde du travail japonais et chinois constitue non seulement une plus-value pour ces entreprises, mais une condition de sélection, de recrutement et de réussite des stratégies commerciales conjointes.
Rejoindre Eurasiam - Japanese Chinese management, c’est donc répondre à ces nouvelles exigences et devenir un acteur central des échanges commerciaux entre l’Europe , la Chine et le Japon.
En effet, en moins de dix ans, les relations commerciales entre la France et le Japon se sont transformées en partenariat majeur.
En 1992, il y avait deux cents filiales d’entreprises françaises implantées au Japon. Elles sont, aujourd’hui, plus de quatre cent cinquante. Les échanges commerciaux entre les deux pays sont d’autant plus importants qu’en raison de la composition structurelle de l’économie japonaise, de nouveaux secteurs s’ouvrent aux firmes européennes.
Ainsi, la France n’est plus seulement un partenaire de services ou de biens localisés, mais est reconnue comme une puissance manufacturière. La percée des investissements français au Japon a également élargi la présence de nos entreprises à de nouveaux secteurs : industries de services (distribution, finance, publicité, média, tourisme), technologies de l’information, industries lourdes,... Elle est même devenue - à l’image de l’Alliance Renault-Nissan - un partenaire financier dont les investissements sont recherchés.
Cette configuration particulière et nouvelle des politiques d’exportations et de partenariats des entreprises françaises et européennes au Japon et en Chine nécessite en conséquence des managers ayant une excellente connaissance de l’ensemble des marchés européen et asiatiques ainsi que des structures de distribution.
De plus, la multiplication de ces partenariats impose la gestion d’équipes interculturelles et un management croisé. Ainsi, la formation de cadres au monde du travail japonais et chinois constitue non seulement une plus-value pour ces entreprises, mais une condition de sélection, de recrutement et de réussite des stratégies commerciales conjointes.
Rejoindre Eurasiam - Japanese Chinese management, c’est donc répondre à ces nouvelles exigences et devenir un acteur central des échanges commerciaux entre l’Europe , la Chine et le Japon.
- Le Japon : deuxième marché mondial
- Plus de 250 nouvelles filiales d'entreprises françaises au Japon entre 1992 et aujourd'hui
- Deuxième stock d'investissements directs étrangers pour la France après les Etats-Unis
- Une forte demande des entreprises pour des cadres formés au management d'équipes euro-japonaises